Dossier #04 Hart Aozora

Dossier du détenu :

Nom : Hart

Prénom, surnom : Aozora, Zora.

Age : 18 ans

Pouvoir : Séducteur

Menotté : Seul

Orientation sexuelle : Hétérosexuelle (c’est par défaut, mais cela peut changer muhuhu… il est toujours puceau)

Description physique :

De ses yeux noirs comme du jais dont les contours sont maquillés avec du fard à paupière rouge et du crayon noir. Emerveillé Il contemple constamment le ciel, avec un air radieux, calme et posé. Il ne s’en lasse jamais de le détailler, puisque c’est son reflet, son jumeau, oui il est le ciel mais sur terre. Tout en déplaçant à l’aide de ses doigts fins sa mèche que le vent pousse devant son œil droit. Il possède un visage efféminé avec un joli petit nez et de fine lèvre rouge. La peau opalescent et pure comme les nuages, il se balade toujours avec une ombrelle blanche pour ne pas bronzer.
Sa silhouette est délicate et élégante, elle donne l’impression de flotter à chaque pas qu’il fait. Il mesure environ 1 m 67 pour 60 kilos, d’après lui, sa chevelure rouge flamboyante est à l’image du soleil, elle illumine le regard des gens qui le croise, les rendant ainsi plus beau et moins morose. De ce fait il accorde la couleur de ses cheveux à ses vêtements, il porte habituellement une chemise bleue faite de tissu léger avec un gilet noir par-dessus attaché par des lacets. Une ceinture blanche, où sont disposés son matériel d’art plastique : Tubes de gouache, pinceaux, cutter etc. Avec un pantalon blanc serré, tâché de peintures et chausser avec des bottes noires, lacets rouges. Mais la presse et l’opinion publique n’ont pas la même vision que lui, c’est un meurtrier, qui a poussé une dizaine de personnes au suicide. Plus tard on le retrouva, agenouillé prés de sa victime, le visage souiller de son sang. Les yeux écarquillés, les poings ensanglantés et fermés, les dents serrées, son visage était complètement déformé par la haine à l’égard de la victime. Pourquoi a-t-il commit homicide direct ? Pourquoi ce changement de méthode ? Que cherchait il à faire ?

Description mentale :

D’ordinaire, il est souvent dans souvent dans sa bulle, dans un monde illusoire de grâce et d’élégance. Egocentrique, bavard, énergique et beau parleur il ne prête aucune attention aux sentiments des autres c’est juste un poseur ou un comédien qui joue le rôle de sa propre vie. Très superficiel, obsédé de l’esthétique : il jauge les gens par leurs beautés qu’il classe en plusieurs catégories : Les gens beaux et digne d’intérêt, les gens laids et les gens qui ont du potentiel mais qui ne l’exploitent pas. Ce sont ses proies, ses modèles potentiels pour son monde. Habituellement, il évalue leurs potentiels, en leur donnant un rendez vous quotidien. Il prend en charge leurs dépenses quotidiennes, ainsi ils n’iront plus besoin de travailler. Mais à une condition, il a le droit de vie et de mort sur leurs vies. Polir cette petite pierre pour en faire une pierre précieuse, exaucer tous leurs souhaits. Jusqu’à ce qu’ils deviennent beaux et s’illuminent comme des étoiles grâce à leurs sentiments de bonheur. Si les critères sont remplis, ils sont parfaits pour son projet.

Mais il se peut qu’il n’arrive pas à faire embellir ces personnes, après un peu de persévérance, c’en est trop, dans un état de transe sans pareil il va tout simplement prendre son œuvre raté, sa pierre qui ne restera qu’une vulgaire pierre. Et la jeter, après l’avoir déchiqueter et briser. Continuant à s’acharner même s’il n’en reste que des miettes. Une bien sombre personnalité, une facette effrayante, alors que ses intentions étaient pures. Ce n’est pas de sa faute, oui c’est la faute de ses gens s’ils ne sont pas assez beaux pour vivre dans ce monde, il faut le purger.

Aime : Le ciel, la beauté chez les gens, les belles choses et les rendre encore plus belles. L'art, dormir avec quelqu’un et sentir son odeur, Les sons agréables et Les belles voix.

Aime pas : La mocheté des objets, la laideur et la grossièreté chez les gens, les gens mal habillés, ne pas pouvoir prendre soin de lui. Être seul et enfermer sans pouvoir voir le ciel. La pornographie.

Histoire :

Une nuit, une tempête de neige sans pareil fit rage sur la ville de Boston. Une pluie de lances gelées tombait comme si la fin du monde était pour ce soir. Chacun restait enfermé chez soi en attendant une amélioration. Malgré ce temps chaotique, on pouvait distinguer une voiture roulait courageusement sur la route, quelques temps après elle se gara dans un parking, un homme blond sortit du véhicule, suivit de sa femme à la chevelure rousse et ondulé qui avait peine à lui suivre, à cause des bourrasques de vent qui la faisait vacillé. Comme si un mur invisible les empêchait d’atteindre ce grand bâtiment qui se dressait face à eux. C’était l’hôpital, Léo et Katrynn Hart attendait des jumeaux. Une bien sombre nuit, même si les clochards mourraient par dizaine, que le temps était de mauvais augure, il fallait quelque chose pour équilibrer la balance. Comme une naissance, une lumière, des cris de nouveaux nés se distinguaient, parmi toute cette agitation, l’humeur maussade de l’hôpital s’était envolée. Aozora et Lucile respirait enfin l’air glacé de ce monde, le 24 décembre. Comme pour inverser un sort lugubre, qui avait été lancé sur Boston. Les Hart donnèrent des noms lumineux à leurs progénitures, Katrynn appela son garçon : Aozora, ce mot qu’elle a apprise durant son voyage au japon : Le ciel bleu. Léo lui appela sa fille, Lucile ce nom vient du latin Lux auquel le sens commun est associé à la lumière.

C’était un cadeau de dieu, fou de joie, Léo avait toujours souhaité avoir une fille, la voir grandir, elle serait plus belle que le jour, et dans la pénombre elle illuminerait ses pas avec son sourire radieux. Mais il y avait une tout autre raison de ce souhait.
Les Hart possédait une immense propriété sur Boston même, Léo Hart le mécène, était à la tête d’une compagnie à son nom qui regroupait la plupart des experts de l’art, l’élite des artistes. Katrynn était une artiste renommée. C’est ainsi que petit à petit qu’ils ont pu ouvrir de nombreuses galeries d’art dans les plus prestigieuses villes du monde. Ses partenaires de travail lui souhaitèrent tous d’avoir une fille, afin qu’elle puisse être la muse de leurs arts. Et d’autres pour des raisons plus sordides comme souiller son innocente petite fille. La pression envolée, Léo pouvait à présent garder l’estime de ses associés, et peut être en gagner d’autres.

Le médecin en charge des jumeaux vint à eux, l’air désolé. Un bonheur ne vient jamais seul, retour brutal à la réalité, leurs ascenseurs émotionnelles qui étaient à son apogée, viennent de s’écraser lamentablement dans les abysses les plus sombres. Lucile, n’avait plus que quelques heures à vivre, une malformation des poumons l’empêchait de respirer normalement. Comme l’oxygène ne parvient pas jusqu’à son cerveau, celui-ci s’éteindrait lentement comme une vulgaire flamme de bougie, en danger devant son plus grand prédateur : les courants d’airs. Elle qui était promise à un si grand avenir, quel cruel renversement de situation ! Par chance un prêtre était sur les lieux, elle reçu son baptême avant de rejoindre les cieux.
Mais Léo était toujours confronté à un problème de taille, quel égoïste alors qu’il venait tout juste de perdre sa fille. Il ne pensait qu’à sa réputation auprès de ses associés, mais oui une idée tordue lui traversa l’esprit. Il allait élever Aozora comme une fille, déterminé il emploiera tous les méthodes nécessaire pour que son garçon, ou plutôt sa nouvelle fille, devienne la muse parfaite.

Les années passèrent d’une vitesse fulgurante, Aozora avait 8 ans. Malgré que ce soit à un garçon travesti en fille, sa beauté surpassée le commun des filles. Vêtu dans des apparats, cousu par des tailleurs d’exception. Des robes en dentelles, habillé parfois en garçon manqué et d’autres en fille modèle. Il fit le bonheur des Harts avec ses rires, sa naïveté, son innocence, sa passion naissante pour l’art et sa curiosité. Au printemps, les fleurs du jardin embellissaient de jour en jour, exprimant leurs beautés à travers leurs couleurs tantôt d’une beauté froide et tantôt d’une couleur chatoyante. L’une de ses fleurs aux pétales Rouge flamboyante et à la tige satinée, dormait entouré de ses sœurs qui veillèrent sur elle durant son sommeil. Jusqu’à que la mère vienne la réveiller, Aozora vit une tête familière penchée au dessus de lui, ses longs cheveux roux et ondulé lui caressèrent son doux visage avec tendresse. Elle le prit dans ses bras et ils allèrent tout deux un peu plus loin, dans l’ombre des feuillages. Katrynn lui raconta une belle histoire, dans laquelle une fille du nom de Lucile était tellement belle qu’il était préférable pour qu’elle reste dans les cieux. Que cette fille était sa sœur jumelle et qu’elle le regardait vivre chaque jour, avec plus de passion que le jour qui précédait, perchée sur son trône céleste. La solitude la gagnait petit à petit, Aozora était son seul réconfort puisqu’elle était seule. La pitié, la compassion, ces choses nouvelles l’envahissaient. Des perles éclatantes jaillissaient de ses yeux, prouvant à sa mère adorée, que ses sentiments nouveaux étaient bien sincères. C’est depuis ce jour, qu’il consacra son existence à sa sœur chérie, il devait trouver un moyen d’apaiser son infortune.

Aozora, avait maintenant seize printemps à son actif, les yeux toujours orientés vers le ciel. Les mêmes questions récurrentes lui traversèrent l’esprit, comment va-t-elle ? Est elle satisfait par le simple fait de le regarder vivre ?
Peintre talentueux, muse de différents artistes renommés comme sa mère. Modèle pour couturier, comédien et musicien. Le monde de l’art se l’arrachait, il était devenu l’icône de la beauté et du talent artistique incarné d’après les médias. Mais il avait une règle dont laquelle il ne devait jamais violer, celle de ne jamais sortir de la propriété de son propre chef. C’est pourquoi, il avait un majordome, des domestiques qu’il avait lui-même choisi en raison de leurs perfections esthétiques à sa disposition et une gouvernante qui s’occupait de son éducation. Bien sûr ils vivaient dans le manoir, la vérité sur le sexe d’Aozora devait être tenu au secret le plus absolu. Ses serviteurs lui sont dévoués corps et âmes, en assouvissant ses moindres caprices et désirs. Ils étaient pour lui une source d’inspiration artistique, mais aussi une source de chaleur humaine, d’amour et de tendresse. Mais cette règle, il l’avait déjà transgressé plusieurs fois. Accompagner de sa bonne personnelle, Agathe ils arpentaient les rues de Boston, à la recherche de jolies et de beaux garçons. Cette ville grouillait de nouveaux talents assoiffés de gloire et de faire fortune.

Il avait fait tellement de recherche depuis ses dernières années, travaillant jour et nuit au détriment de sa santé. Sur la façon de la sauver, une vraie obsession, depuis ce jour, où il entendit pour la première fois l’histoire de sa jumelle. Il obtient sa réponse, elle était tellement évidente qu’il en pleurerait presque. Il fallait lui envoyer des amis, qui ont la même beauté exceptionnelle qu’elle. C’est ainsi qu’il poussa une dizaine de personnes toutes aussi belles que sa sœur au suicide, par défenestration. Le fait de se jeter par la fenêtre d’une gratte ciel par exemple et de mourir à cause de la pesanteur avant de s’écraser au sol, c’est la preuve que le ciel aspire leurs âmes. Aozora lui attendait au pied du gratte ciel, regardant l’ange s’envolé d’un air rayonnant camouflé par la foule. Comme il était sur les lieux à chaque suicide, il fut suspecté et ensuite arrêté et emprisonné. Comme il possédait des contacts, il ne resta que quelques jours, il sortit de prison après avoir ingurgiter une gélule.

A cause d’elle il perdit la raison, le monde céleste n’existait plus. Tout cela n’était que mensonge, il avait envoyé toutes ses jolies choses nulle part. Il allait faire de ce monde son royaume, pour cela il devait le purifier. Quelques années plus tard il développa un étrange pouvoir qui lui facilité grandement sa tâche dans son épuration sauvage.
Dommage que tu ne puisses plus continuer, bienvenu à SpecialClink Aozora !

Test Rp :

Dans la nuit de Boston, un garçon en trench coat noir, pantalon noir, gants en cuirs marron avec un béret de même couleur arpentait les rues. Il avait une mine réjouie, comme si la vue nocturne de la ville lui redonnait le sourire. Tous ses sens étaient en éveil lorsqu’il regardait la ville, la sentait, l’écoutait vivre. La beauté de l’architecture et des lieux, les différentes lumières des enseignes, les bandes rouges et jaunes des voitures, le parfum envoûtant des crêperies et des restaurant du coin, la musique des artistes de rues et les voix des passants qui ne formait au final qu’un bruit de fond. Il y avait une telle poésie qui laissa dans le cœur d’Aozora un doux sentiment d’enchantement. Il voulait sortir seul pour cette fois, même si Agathe allait paniqué et retourner ciel et terre pour le retrouver, il s’en moquait un peu. Même si cette pensée le faisait doucement rire.
Mais ce sentiment d’enchantement n’était qu’éphémère, devant lui, il distinguait une fille au visage maigre et fatiguée, de sa démarche lente et nonchalante elle avançait au sens contraire de la foule. Comme un condamné qui marche en direction de la guillotine, elle qui sortait de nulle part, avait détruit le sentiment poétique en même pas quelques secondes. Une sorte d’aura tellement accablante émanait d’elle, la détresse, la solitude, dans son for intérieur elle devait sûrement crier "sauvez moi" !

Aozora souriait, bien je vais la faire briller, pensa t-il. Il l’attrapa par la main et l’entraîna à travers la foule dans une course folle.

- Quelle le nom de la petite fleur fané que je viens de cueillir ?

Bien qu’ils étaient toujours en train de courir, il n’entendit que quelques sons venant de l’inconnue.

- Qu’est ce que je suis bête ! Il se retourna brusquement, surprise la fille se cogna contre son torse.

- On devrait trouver un endroit où parler, parler en courant ce n’est pas vraiment gratifiant. Hummm voyons voir, où est ce qu’on pourrait parler tranquillement ? Dans un bateau peut être ? La vue est superbe et puis c’est reposant ! Peut être que tu n’aimes pas les bateaux. Alors un tour dans un parc ? Peut être que tu trouves ça trop ennuyant. Ah ! Je sais, que dis tu d’un café ? Peut être que tu n’as pas encore mangé dans ce cas allons-y !

Avant que la jeune femme n’ait le temps de dire quoique ce soit, elle se retrouva assise à une table. Son interlocuteur prenait toutes les décisions à sa place, sa boisson, son plat principal et le dessert. Elle était tellement fatiguée qu’elle le laissa faire.

- Tu m’as l’air un peu déprimé, mange un peu, tu verras tu te sentiras mieux !

Etonnée elle sortit de son sac à main, une boite contenant des gélules.

- J’ai pourtant ce qu’il faut, des psychotropes, je me sens rajeunie avec, si je m’inquiète de ne pas assez dormir j’ai aussi des somnifères. Si j’ai le moral à zéro, j’ai des anti-dépresseurs. Ceux-ci sont des sautes d’humeurs. C’est si dur d’être dans le monde du travail.

Aozora resta silencieux, voir tous ces cachets sur la table. Le rendait furieux, combien de ces cachets devait elle en prendre par jour ? Comment a-t-elle pu en arriver là ? Elle ne devait pas se nourrir correctement, son teint était fantomatique, ses cheveux désordonnés, ses yeux cernés par la fatigue. Ce n’était qu’un vulgaire cadavre ambulant, voir une telle laideur lui donnait des nausées, Il retira son béret lentement, avança vers elle et prit sa tête entre ses deux mains. Ses mains tremblés et une sensation inexplicable accabla la jeune femme, comme si était à la merci et écraser sous le poids d’un mystérieux pouvoir. Faible et sans défense, elle devait se soustraire à sa volonté.

Il est important de trouver une voie pour s’accoutumer au monde extérieur, par exemple dieu. Depuis toujours la vénération et la foi en quelque chose… Permettant aux personnes de refouler leurs frustrations envers notre monde, et d’avoir un contrôle sur leurs émotions. C’est la raison de l’existence de plusieurs religions, de multiples divinités ont pu libéré de multiple personne de leurs souffrances, mais ceux qui ne furent pas sauvés cherchent d’autres voies… Telle la philosophie, pour obtenir la délivrance. Si Dieu existe, ça doit être une mauvaise personne, comment a t-il pu faire un monde pareil ? Je serais ce dieu pour toi, à toi de choisir entre la punition et la rédemption.

Il lui expliqua ensuite que si c’est son travail qui la rendait aussi malheureuse, qu’elle arrête. Elle travaillera pour lui maintenant, il lui prodiguerait ce qu’il lui faut pour ses dépenses quotidiennes. Mais si jamais elle persistait dans ce chemin, il mettra fin sans hésitation à cette existence grotesque.

Quelques jours plus tard, à cause des plaintes pour tapage nocturne des voisins. Des policiers sont venus faire une enquête dans son atelier. On retrouva la dépouille d’une jeune fille qui gisait par terre, son visage méconnaissable comme si on avait lâché un fauve défouler sa rage sur la pauvre fille.

Hors Rp :

Age : 20 ans

Déjà fait du Rp ? Moui, vite fait xD !

Comment avez-vous connu le fow ? Par une beauté froide, assise sur son trône céleste. (Mais qui va bientôt tomber, comme un iceberg du ciel bwuhaha Revolution xDDDD !!)

Aimez-vous le design ? Joker ? Bon, oui j'aime =]

Un commentaire ? Reste belle [Sinon... muhuhu... ^_____*]

Hahahaha voilà une belle fiche de postée !
Au diable, sale psychopathe x)

Nan, mais avoue que ton personnage est assez détraqué...

[La beauté froide parle]

Tu as rempli les conditions nécessaires à ta validation, des fautes d'orthographe mais rien de trop choquant. Rien ne cloche.
(Rien ne cloche à part ton état mental et ton... sérieux problème de beauté)
ps : je resterai toujours belle !

Bon et bien, psychotique profond, tu es validé !!!

Bon okay ! Il est un peu... juste un peu... un peu maniaque...
Bon c'est vrai, c'est un vrai taré qui mérite bien sa place à SpecialClink !

Ouais j'essayerai de faire des efforts sur l'orthographe u_u'...
Merci, le glaçon.

Juste un peu, oui =D
hahahaha

De rien, et pas de rébellion! >.< je resterai sur mon trône !
Bon bon =] je vais verrouiller....

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